Pas de parenté connue avec Antoine Caziot.
"Ce Léonard Caillot n’est autre que le curé de Prye dont nous avons déjà parlé et il devait être fort âgé, car il n’exerça les fonctions curiales qu’un mois à peine, étant mort en juillet 1718. Le remplacement de Léonard Caillot suscite un conflit. Robert Lemaître, chanoine de Saint-Cyr de Sancergues, qui désirait ce poste, se le voit refuser par Jean Deluze, doyen de la cathédrale de Nevers, patron et collateur de la cure, mais obtient le 27 octobre des provisions de l’évêque. Il se hâte donc de prendre possession, le 28 octobre 1718, dans la matinée ; l’après-midi du même jour, Léonard Caziot, chanoine de Nevers, fait opposition, la cure n’étant pas vacante, dit-il, car le doyen en a pourvu son frère Antoine Caziot ( 1 2 3 4 5 6 7 8 L Les choses finirent par s’arranger, car, le 7 février 1719, Robert Lemaître permute avec Antoine Caziot, alors curé d’Ourouër
Enfin, le 28 décembre 1724, Antoine Caziot donne à son tour procuration pour résigner la cure en faveur d’André Caziot, son autre frère, qui en prend possession le 20 mars 1725 (b. Cet André Caziot a eu, entre autres mérites, celui d’inscrire dans ses registres une loule de savoureuses notes qui nous font entrevoir ce qu’était la vie en Mouësse à cette époque."
Bulletin de la Société nivernaise des lettres, sciences et arts,Bulletin de la Société nivernaise des lettres, sciences et arts;
1883, p568
"au. lieudit « les Vernays », sol et sous-sol sont exclusivement sablonneux ; d’autre part, à « la Chaume », le sol est formé d’excellentes alluvions. D’ailleurs les archives paroissiales du quartier nous rappellent les fréquentes inondations qu’il subit. L’abbé Caziot, curé de Saint-Lazare, nous apprend qu’une crue de la Loire eut pour conséquence l’inondation du Mouësse en 1733. "
idem